Avoir une attitude de sauveur peut nous donner l’impression d’être utile et renforcer momentanément un besoin de reconnaissance ( pu estimé de soi)
à terme elle peut si les critéres que vous avez évoqués dans la video ne sont respectés, conduire à là dégradation des relations car la personne « aidée » pourrait se sentir dévalorisée, critiquée etc.. Et pourrait soit être sur la défensive lors de rencontres soit cherchera à nous éviter : résultat l’inverse des relations harmonieuses qu’un sauveur peut rêver de créer. L’enfer pour les deux parties : Effectivement les chemins qui mènent à l’enfer sont pavés de bonnes intentions.
Merci pour votre blog qui me permet de consolider chaque fois un peu plus le changement que je souhaite pour des relations bienveillantes et respectueuses
Super, les 4 questions ! Merci Christophe. Il m’arrive de fuir les plaintes d’une amie qui est malheureuse depuis de nombreuses années. Je n’ai pas les compétences pour l’aider. J’ai eu à accepter aussi mon impuissance lorsqu’elle plonge dans l’abus de psychotropes (alcool et médicaments).
Avoir une attitude de sauveur peut nous donner l’impression d’être utile et renforcer momentanément un besoin de reconnaissance ( pu estimé de soi)
à terme elle peut si les critéres que vous avez évoqués dans la video ne sont respectés, conduire à là dégradation des relations car la personne « aidée » pourrait se sentir dévalorisée, critiquée etc.. Et pourrait soit être sur la défensive lors de rencontres soit cherchera à nous éviter : résultat l’inverse des relations harmonieuses qu’un sauveur peut rêver de créer. L’enfer pour les deux parties : Effectivement les chemins qui mènent à l’enfer sont pavés de bonnes intentions.
Merci pour votre blog qui me permet de consolider chaque fois un peu plus le changement que je souhaite pour des relations bienveillantes et respectueuses
Merci à vous Cristina pour votre commentaire et votre enrichissement de ce billet-vidéo
Les lecteurs apprécieront 🙂
A bientôt
Super, les 4 questions ! Merci Christophe. Il m’arrive de fuir les plaintes d’une amie qui est malheureuse depuis de nombreuses années. Je n’ai pas les compétences pour l’aider. J’ai eu à accepter aussi mon impuissance lorsqu’elle plonge dans l’abus de psychotropes (alcool et médicaments).
Merci pour ton retour Luciana 🙂
Merci Christophe. Je crois que je dirai plus souvent « non » suite à ces classifications. Une bonne prise de conscience avec cette quatrième question.